Oh, ich dachte Neufchâtel fiel durch das oranische Erbe an den König Friedrich I. in Preußen.:grübel: Irgendwie wird das im Wikipediaartikel auch nahegelegt.
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Neuchâtel - Wikipédia
Ich stell mal den Auszug rein:
Rodolphe de Hochberg et Louis de Châlon, prince d'Orange, dit Louis le bon, se disputent l'autorité sur le comté de Neuchâtel. Le prince d'Orange considère que le comté doit lui revenir car celui-ci était allemand deux siècles plus tôt et qu'en l'absence d'hoirs[54] mâles il revient à son seigneur, d'autant plus que Jean de Fribourg avait épousé Marie de Châlon, sa sœur, en 1416. Rodolphe de Hochberg lui se revendique de la descendance directe (mais par une fille) du grand-père de Jean de Fribourg[55], du testament écrit par Jean de Fribourg et est soutenu par les bourgeois de la ville. En 1458 Rodolphe de Hochberg succède finalement à Jean de Fribourg[13],[56],[16].
Le fils de Rodolphe, Philippe de Hochberg, est le comte le plus riche de Neuchâtel. Il prend possession du comté en 1487. Il avait auparavant épousé Marie de Savoie (nièce de Louis XI)[57] et continua à lier des alliances durant tout son règne, en particulier avec Berne et Fribourg. Il conclut en particulier un accord avec son cousin Christophe de Baden par lequel ils se donnent réciproquement, à défaut d'enfants mâles, leurs seigneuries allemandes[58]. Philippe décède en 1503 et laisse une seule héritière, sa fille Jeanne. En 1504 Louis d'Orléans épouse Jeanne de Hochberg et devient comte de Neuchâtel[13],[46],[16]. Mais entre-temps la famille de Hochberg a perdu le contrôle des terres allemandes et est presque ruinée. En 1540, sous le règne de Jeanne et Louis, Guillaume Farel s'installe à Neuchâtel et convertit la région à la Réforme protestante[13]. La famille d'Orléans se succède à la tête de la ville jusqu'à la mort de Marie de Nemours, née d'Orléans-Longueville, qui décède en 1707 sans héritiers directs[13],[16].
En 1579, une crue du Seyon détruit l'Hôtel de Ville et disperse ses archives[13].
La succession de Marie de Nemours attire une quinzaine de prétendants dans des manœuvres politiques homériques. Finalement les bourgeois font pencher la balance en faveur de la Prusse considérée comme suffisamment forte pour protéger la ville et assez éloignée pour ne pas interférer avec les affaires locales. En 1707 le canton devient prussien, le château devient le siège local de Frédéric Ier de Prusse[13],[16].